Danse avec ton Crous 2024

Finale nationale
Concours de création étudiante Évidanse
Photo d'une danseuse qui termine un saut Photo d'une danseuse qui termine un saut Photo d'une danseuse qui termine un saut Photo d'une danseuse qui termine un saut Photo d'une danseuse qui termine un saut Photo d'une danseuse qui termine un saut Photo d'une danseuse qui termine un saut
Crédit photo : Manu GRIMM
Tout public
La Pokop, salle de spectacle Paul Collomp
2h30
La Pokop

La finale nationale de Danse avec ton Crous revient à La Pokop !

Après les phases de sélection régionale et nationale, La Pokop ouvre ses portes aux six finalistes nationaux lors d'une soirée dédiée à la danse et à la jeune création. Venus des quatre coins de la France, ils et elles s'emparent de la scène à tour de rôle pour présenter leurs créations chorégraphiques qui ont su interpeller le jury. Sauront-ils les convaincre sur scène ?

Une soirée pleine de suspens et d'émotions, où la parole est au corps et la scène aux étudiant·e·s !


Ce projet est à l'initiative du Crous de Strasbourg en partenariat avec le Cnous.


Les finalistes nationaux 2024 :

  • Fléaux, de Paul CLERGET et Yann LOUVRIER SAINT MARY (Lyon)

Dans Fléaux, les interprètes endossent le rôle de « nettoyeurs de l'ombre ». Leur mission consiste à éliminer les impuretés émotionnelles et les aspects négatifs qui imprègnent notre vie quotidienne. La pièce explore alors le protocole suivi par ces exécuteurs.

 

  • Fleuve Tranquille, de Stanley MENTHOR et Mado LIZZI (Nantes-Pays de La Loire)

La nuit est un long fleuve tranquille... ?

Fruit d'une recherche autour d'un algorithme, ce solo explore les potentialités du corps et les manières de faire histoire. La danseuse développe une suite d'instructions chorégraphiques décousues avec lesquelles, tel un patchwork, elle construit une narration.

 

  • Bancale(s), de Elle(s) (Strasbourg)

Tout est parti d’un titre : Bancale(s).

Un mot rentrant en résonance avec le monde d’aujourd’hui et son équilibre instable.

Un mot qui reflète une période d’entre-deux où nous ne sommes plus des enfants mais pas encore considérées comme des adultes.

Un mot qui n’a ni de début ni de fin provoquant un perpétuel mouvement.

Le processus inversé de création l’était sûrement aussi, tout est parti d’un titre : Bancale(s).

 

  • Riо́va, de JÄM (Paris)

C'est quoi ton plus grand rêve à toi ? Les rêves qui se disent, ceux qui font peur, ceux qui n'existent plus ou qui attendent seulement. Les rêves qui changent avec le temps, ceux qu'on s'interdit, ceux qui sont fous, remplis de poésie, de subtilité et d'audace. C'est tout ça, on peut rêver et on a le droit.

 

  • Die Neurotiker, de Le Horst (Toulouse-Occitanie)

Au commencement, il y a cinq corps, cinq jupes, cinq chemises, cinq paires de chaussures à talons, cinq regards fixes et une marche, commune à toutes.

Die Neurotiker met en scène cinq femmes dans une pièce où chaque mouvement est une plongée dans l'inconscient, révélant la tension palpable entre contrôle et abandon. Elles incarnent l'essence de la névrose par un geste brut, nu, circulent à travers les corps. Un geste impulsif, submergé, souvent ignoré, celui de la saccade, de la convulsion, du spasme. Le geste de l'intérieur.

 

  • Faux couloir, de Amalia SOUBISE et Léa WARIN-D'HOUDETOT (Lyon)

C'est étrange

Dans le

Regard des gens

 

C'est étrange

L'effet

Sur mon regard

 

Pour Yvette et Simone.